Robert Doisneau est « le photographe des rues parisiennes par excellence ». A l’exception de ses portraits pris dans les rues de Paris et sa banlieue, je ne connaissais pas grand-chose du reste de son travail. Avant même d’avoir feuilleté Robert Doisneau de Jean-Claude Gautrand (un ouvrage qui couvre l’ensemble de sa carrière), je savais que j’allais passer un merveilleux moment.
En effet, j’ai enfin découvert le parcours de Doisneau à travers une biographie concise et bien documentée, tout en m’imprégnant d’une bonne centaine d’images. A chaque photo, Doisneau parvient à dévoiler les âmes de ses sujets, à transmettre une atmosphère, à véhiculer des passions. Bien plus qu’un instantané, chaque cliché devient un point de départ, laissant imaginer des vies entières, des tourbillons de sentiments…
Et surtout, j’ai eu cette sensation de comprendre cet homme. En particulier cet amour qu’il avait pour Paris et les parisiens. Un sentiment que je partage au point d’avoir tenté (sans succès), d’imiter le Maître avec un appareil bon marché !
Merci Robert Doisneau d’avoir laissé en héritage, ce témoignage d’une ville qui ne cesse d’évoluer, faisant disparaitre petit à petit une part de son essence.
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Oh! L´année dernière je regrette de n´avoir pu voir l´expo à l´Hôtel de Ville!
Bon weekend Sheily
Elisa, en Argentina
P.S A voté!
J’ai eu la chance d’y aller et j’ai adoré. Il y avait vraiment de superbes photos des Halles. J’avais rédigé un billet d’ailleurs.
Merci pour le vote.
Ce bouquin, je pense, était une évidence pour toi ! A toi de marcher dans les pas de Doisneau. Pas facile certainement mais d’une autre façon, celle de ton époque ! Bon dimanche
Je ne pourrais pas mieux résumer mon sentiment ! Bon dimanche.
Je le note, je suis une vraie fan de Doisneau! J’ai beaucoup de livres de ses photos, mais je ne sais pas grand-chose de sa vie finalement! 🙂
Comme moi avant de lire cet ouvrage. Tu vas beaucoup l’apprécier.
[…] retrouvé des photographes familiers (Doisneau, Izis, Henri Cartier-Bresson…), j’en ai découvert d’autres (Joseph Koidelka, Bernard […]
[…] tentais humblement de marcher dans les pas des maîtres de la photo et amoureux de Paris que furent Doisneau, Brassaï, Ronis et bien d’autres. Emerveillée par leur travail, je ne prenais que des photos de […]