J’ai découvert (et apprécié) Katherine Pancol à travers ses trois derniers romans (Les Yeux jaunes des crocodiles, La Valse lente des tortues et Les Écureuils de Central Park sont tristes le lundi). J’étais très tentée de lire un ouvrage antérieur mais en discutant avec mon libraire, celui-ci a laissé entendre que la trilogie que j’avais lue était si différente du « style » Pancol habituel, qu’un autre livre de la même auteure pourrait me décevoir. J’ai suivi son conseil et évité Pancol… Jusqu’à ce que je lise la quatrième de couverture d’Encore une danse.
« Clara, Joséphine, Lucille, Agnès, Philippe et Rapha ont grandi ensemble, habité le même immeuble, sont allés dans les mêmes écoles et ne se sont jamais quittés ». Cette simple phrase a suffit pour que je m’identifie aux personnages. Comme eux, j’ai la chance d’avoir un groupe d’amis que je connais depuis toujours et surtout, que je fréquente encore aujourd’hui. Malgré les nouvelles amitiés que j’ai nouées au fil du temps, rien ne remplace les fous rires et la complicité que j’entretiens avec ces amis « originels », témoins de mon adolescence, complices de mes premières fois, gardiens de ces secrets impossibles à révéler.
La comparaison s’arrête là, puisque les protagonistes d’Encore une danse se retrouvent confrontés à une épreuve particulièrement dure, qui parvient à ébranler une fraternité que l’on croyait sincère et indestructible. Dès lors que ce danger menace l’unité du groupe, chacun engage une introspection qui fait apparaître à quel point leur personnalité s’est effacée (ou pas) au nom de l’amitié.
Comme quoi, le style Pancol me plaît, en particulier sa manière de raconter des destins de personnes ordinaires.
Ton libraire à eu « raison », le Pancol d’avant était plutôt à ranger dans la catégorie « essai psychologique » avec souvent de longs monologues !
J’avoue que je n’en ai pas lu d’autres en dehors de la trilogie et de « Encore une danse ». Mais j’étais contente de ne pas l’écouter pour cet ouvrage là ! Les autres quatrièmes de couvertures ne m’ont pas tentées jusqu’ici.
Je n’ai lu qu’un seul ouvrage de Pancol et je m’étais promis d’aller plus loin dans la découverte de son écriture. Ma fille, la plus jeune, est fan de cet écrivain et m’y a vivement incitée. Hélas, je manque de temps, cruellement… Bon dimanche à toi (il pleut, snif….)
Jour de pluie, jour de lecture ! Encore une fois, je n’ai lu que 4 ouvrages (dont une trilogie), qui apparemment sont très différents de son style habituel. Je ne peux donc pas te conseiller sur son oeuvre.
Comme toi entendu dire que Pancol avant sa trilogie c’etait un style tres different. Grace a ton article, ca me donne l’envie de decouvrir le bouquin. Merci!!
Si tu te lances, je serais curieuse d’avoir ton avis !
A part un ou deux je pense les avoir tous lu ! Et bien que différent de la trilogie, je l’adore aussi !
« Scarlett si possible » suis aussi la vie de 3 copines, pas mal 🙂
Je vais me laisser tenter par « Scarlett si possible », alors. L’histoire de 3 copines me plaît bien ! Meric.
Hummm… j’ai pensé à un autre hier soir, pas du tout « bande » mais avec un personnage attachant : « Un Homme à Distance » également de Katherine Pancol !
Merci pour l’info !
[…] Muchachas est le cinquième roman de cette auteure que je lis, et je l’apprécie autant que les cinq autres. Tout simplement car Pancol dresse des portraits de femmes. Le titre Muchachas (femme en espagnol) […]