Samedi dernier, je suis passée devant une façade familière de la rue de Vaugirard. J’ai habité presque en face au cours des vingt premières années de ma vie, sans y prêter la moindre attention (j’ai même pénétré dans la cour de cet immeuble à l’adolescence). Il faut dire que l’ensemble était en piteux état, et le soleil n’était pas en couleur à l’époque. En outre, il n’y avait pas de Pelle Starck pour attirer mon attention sur le site de l’Auberge du Soleil d’or.
L’Auberge du Soleil d’Or
Le plus étonnant quand on découvre le Mur des révolutions, c’est d’observer les visages humains qui en recouvrent la surface, comme s’ils avaient été moulés…