J’ai composé mon premier herbier lorsque j’étais en CE2, pendant un séjour en classe de nature. Je me souviens encore de ce cahier A4, dans lequel une feuille de papier calque venait s’intercaler entre chaque feuille de dessin, afin de préserver les fleurs collectées. Mes fleurs séchées ont bien tenu le coup, pour la plupart, et j’ai continué à utiliser ce même herbier quand ponctuellement, j’avais un travail de ce type à réaliser des années plus tard. Aujourd’hui, je ne me lancerais certainement pas dans un travail aussi méticuleux (je suis moins patiente), si ce n’est avec un outil tel que l’herbier digital de l’Institut Klorane.
6 Commentaires