Attention, ce billet a pour objectif de démontrer que la gourmandise n’est pas un vilain défaut… Je viens en effet de découvrir Delicesweet, le paradis des gourmands. Cette épicerie propose des chocolats, confiseries, pâtisseries et des glaces… Delicesweet, l’épicerie de la saine gourmandise
J’ai croisé cette enseigne dans les rues de Paris, New York, Londres, Beyrouth ou encore Punta Cana… Des amis collectionnent les produits dérivés qu’il rapportent à chacun de leurs voyages… Cependant, je n’avais jamais poussé la… Hard Rock Cafe Paris, l’art de vivre à l’américaine au coin de la rue
Mon Lutin est complètement passionné par les couleurs depuis quelques semaines. Il énumère toutes celles qui l’entourent (avec une préférence particulièrement prononcée pour le bleu), et ne quitte jamais la maison sans avoir pris soin… Jeux de couleurs : Colorino et Anneaux Multicolores
Samedi dernier, je suis passée devant une façade familière de la rue de Vaugirard. J’ai habité presque en face au cours des vingt premières années de ma vie, sans y prêter la moindre attention (j’ai même pénétré dans la cour de cet immeuble à l’adolescence). Il faut dire que l’ensemble était en piteux état, et le soleil n’était pas en couleur à l’époque. En outre, il n’y avait pas de Pelle Starck pour attirer mon attention sur le site de l’Auberge du Soleil d’or.
Je suis généralement très pressée quand je prends le métro. Pour arriver à l’heure à mes rendez-vous d’une part, mais aussi pour quitter au plus vite cet espace sous-terrain qui m’empêche de profiter de la ville…
Pourtant, je marque parfois une pause et je dégaine mon appareil. Comme ce mercredi soir ou je suis passée devant le monument aux morts de la station Richelieu Drouot.
Un des dilemmes que je rencontre lorsque je pénètre dans une maison de thé, consiste à choisir parmi tous les thés proposés : j’ai envie de tous les acheter tant mes goûts varient en fonction de l’heure de la… Acheter son thé à A l’Unithé, une brillante idée
La façade sculptée par Auguste Rodin en 1869 n’avait pas échappé à mon œil averti de flâneuse parisienne… Pourtant, j’étais loin d’imaginer les trésors du patrimoine cinématographique qui sont abrités au sein de la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé.
La Petite Fille Aux Allumettes… Ce triste conte de Hans Christian Andersen m’avait arraché bien des larmes lorsque j’étais enfant. La fin douloureuse reste d’ailleurs tout ce que j’en avais retenu. Aussi, en apprenant que David Rozen avait mis en scène une nouvelle adaptation au Théâtre du Palais Royal, je n’avais qu’une envie : assister à la transformation de cette sombre histoire en comédie musicale.
La Petite Fille Aux Allumettes – Affiche David Kawena
C’est un article sur La Pointe de l’Amérique, qui m’avait amené, il y a fort longtemps, à partir à la découverte du Passage du Nord-Est.
Ce petit village parisien occupe un triangle de 500 mètres de côté, enserré entre le Boulevard Sérurier au Nord, la rue de Belleville au Sud, et à l’Ouest par l’axe formé par les rues du Docteur Potain et de l’Inspecteur Allés. Je n’avais pas rédigé de billet à l’époque car j’avais été très déçue par mes photos : peu nombreuses, mal cadrées, etc. Cinq ans plus tard, je suis retombée dessus et j’ai eu envie de les partager quand même, ce quartier étant vraiment méconnu.