Arlequin et sa belle prennent tous les risques pour vivre leur idylle…
Un tableau, un fauteuil ou encore un miroir qui parlent… C’est possible ! Dans un pays imaginaire, où Arlequin sort de son tableau, pour révéler ses sentiments à une jolie danseuse de boîte à musique.
Arlequin et la Danseuse raconte l’histoire d’amour d’une petite danseuse de boite à musique et d’un petit Arlequin sorti tout droit d’un tableau. Ils vont tous deux s’échapper pour fuir le roi despotique qui les possède et vivre pleinement leur amour dans le monde de dehors. Oui ! Mais le monde de dehors est bien triste, et ne ressemble en rien à ce qu’ils avaient imaginé. Avec l’aide de la petite Loli, un miroir de poche, ils vont comprendre pourquoi le roi est si mauvais et rendre sa joie au royaume de Takikardie.
Une nouvelle fois, l’humour et la magie qui dominent ce spectacle ont fait la joie de Mon Lutin, qui n’a pas voulu quitter le théâtre avant d’avoir été photographié en compagnie des comédiens. Car Arlequin et la Danseuse réunit tous les ingrédients pour plaire à une petit garçon de trois ans, qui raffole d’histoires magiques et poétiques :
- Des personnages très amusants (roi capricieux et colérique, gardes pas vraiment malins et surtout très maladroits) ;
- Une histoire d’amour entre un gentil Arlequin et une danseuse romantique ;
- Des objets qui parlent et éprouvent des sentiments ;
- De la musique, des chansons et de la danse pour rythmer le récit et apporter beaucoup de poésie.
Et comme souvent, le texte propose une double lecture enfants/adultes : l’amour et l’amitié sont les principaux thèmes abordés, mais ce spectacle traite également de liberté et de la condition de la femme.
Le spectacle est conseillé à partir de quatre ans, mais mon fils, qui a un peu moins de trois ans et demi a beaucoup apprécié et participé.
Arlequin et la danseuse, jusqu’en mars 2016 au Théâtre Pixel, 18 rue Championnet 75018 Paris