L’architecte Seitz bâtit en 1868 cette porte cochère en bois en forme d’ogive, décorée de quatre ferronneries qui évoquent l’éclosion de boutons de fleurs.




Les deux consoles sous le garde-corps, sont deux vieillards aux sourires nerveux qui s’apparentent à des elfes sournois : cette impression est due à leurs fines oreilles et à leur position recroquevillée. Les pancartes qu’il maintiennent entre leurs mains comportent les initiales de l’architecte.



Source documentation : Patryst
j’adore les anciennes portes !
Moi aussi ! J’ai d’ailleurs réalisé plusieurs séries de portes parisiennes (dont une à venir des portes du Marais).
Superbe. J’aime beaucoup moi aussi ces belles “créations”.
Je les trouves superbes !