La rue d’Abbeville est sans nul doute un emplacement privilégié pour les immeubles d’exception. En effet, l’édifice mitoyen à l’immeuble Belle époque que j’évoquais récemment mérite lui aussi toute notre attention.
Construit en 1899 par l’architecte Georges Massa, cet immeuble de rapport se situe à l’angle avec la rue du Faubourg-Poissonnière. Les sculptures en pierre, représentent des femmes, couvertes d’un voile léger, au-dessus des fenêtres des deux salles de réception du premier étage.
Superbes, non ?
Avant de lire ta dernière phrase, c’est exactement le mot qui me venait à l’esprit : SUPERBE !
Effectivement, cette rue est un trésor architectural.
Bon weekend
Bon weekend!
j’adore Paris pour ces beaux immeubles
Une de mes passions!
Superbe !
J’adore prendre le temps de découvrir les belles façades des immeubles. (:
Je tente de photographier toutes celles que je croise.
Ces cariatides sont superbes <3
Nous sommes bien d’accord!
Marcher les yeux en l’air c’est tellement passionnant.
Bon dimanche.
C’est bien vrai ! Bon dimanche !
[…] La rue d’Abbeville est sans nul doute un emplacement privilégié pour les immeubles d’exception. En effet, l’édifice mitoyen à l’immeuble Belle époque que j’évoquais récemment mérite lui aussi toute notre attention. […]
Superbes en effet!
En plus je ne connaissais pas le mot « mitoyen »
J’apprend toujours quelque chose de neuf!
On apprends tous les jours, dans tous les domaines. Belle journée.
Et les messieurs s’appellent des atlantes 😉 . Au final à Paris il y a en a pas mal sur les façades des cariatides !
Mais il n’y a pas de monsieur sur cet immeuble… Ou alors ils ont échappé à mon regard.
C’est vrai que les cariatides parisiennes ne manquent pas. Mais pour ma part, ce n’est pas pour autant que j’en croise tous les jours 😉 !
Ah non il n’y en a pas sur cette façade (qui est d’ailleurs l’une des plus belles de Paris)! En se baladant dans le 15e ou le 16e il y a quelques immeubles regroupant des atlantes et des cariatides.
D’accord ! Je n’avais pas compris qu’il s’agissait juste d’une mention du terme. Je ne l’avais pas évoqué précisément car il n’y en avait pas !