Au début du 19ème siècle, Paris comptait 500 fermes spécialisées dans la production de lait (il n’y avait pas de terre à cultiver).
La dernière ferme de Paris se trouve dans le 14ème arrondissement, 26 rue de la Tombe Issoire. Le bâtiment, en très mauvais état, est menacé par un projet immobilier. L’unique raison pour laquelle les projets précédents n’ont jamais abouti, c’est que le terrain de la ferme se trouve au-dessus de carrières médiévales classées, accessibles par les catacombes.
Il existe une pétition (que j’ai bien évidemment signée) appelant à la révision de « l’autorisation d’urbanisme qui va détruire des carrières médiévales de la dernière ferme ». J’ignore si cet appel sera entend, mais n’hésitez pas à partager cette pétition, car je rêverais d’aller visiter la dernière ferme de Paris.
Pour en savoir plus et pour voir des images de la ferme, je vous conseille de regarder cet extrait du JT de TF1, qui avait consacré un reportage sur cette ferme en 2010.
ça me tenterait ! Je ne connaissais pas !
Il faut signer la pétition !
Le nom me dit quelque chose (le nom d’une rue ?) mais je ne savais pas…
Ou bien le Parc Montsouris?
Je ne connaissais pas l’existence de cette ferme et son histoire! En tout cas j’espère que les promoteurs n’auront pas gain de cause ça serait trop dommage! Je vais de ce pas signer la pétition.
Merci pour ta participation ! Je sais que même Lorànt Deutsch était sensible à ce « combat » !
Oh mais c’est une excellente découverte! Ce serait intéressant de voir l’avenir de ce lieu.
Je regrette de ne pas l’avoir découvert plus tôt…
Si j´étais parisienne, je signerais la pétition!
C´est dit!
Bisous
Elisa
Merci Elisa !
Très intéressant, je n’en avais pas du tout entendu parler, merci pour cette découverte, j’espère que ce patrimoine pourra être sauvé.
Cela serait tellement dommage de le voir disparaître. Je ne milite pas pour un « Paris ville musée » à tout prix, mais il y a une phrase de Steinbeck que j’aime beaucoup et qui résume mon sentiment : »Comment saurions-nous qui nous sommes sans notre passé ».