Et encore un petit coin de campagne, perdu au coeur du 20ème arrondissement de Paris.
C’est là que j’ai croisé, debout dans un jardin, le plus grand chat que j’ai vu de ma vie. Aussi haut qu’un labrador, je dois avouer que je serais partie en courant s’il n’y avait pas la grille pour nous séparer!
J’adore ces petits coins secrets. .. Un havre de paix en plein Paris, le bonheur quoi! 😉 Ça me plairait bien de vivre dans une rue comme celle-ci!
C’est pour ces endroits que j’aime tant le 20ème. C’est l’arrondissement de la campagne à Paris par excellence !
Retour dans le XXème! Que c’est mignon. Par contre tu es sure qu’il s’agissait d’un chat et pas d’un chien « déguisé »? 😀
certaine qu’il s’agissait d’un félin ;-)!
Je valide! Vive le 20e 🙂
oh yes !
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Au 18 de la rue Laurence-Savart, entre 1950 et 1962 ma tante Mathilde Spiquel tenait ce qui était une petite échoppe d’épicerie. Je m’en souviens comme si c’était hier. La station de métro Martin-Nadaud était encore en service.
Bonjour et merci pour ces précisions.
[…] rue a des airs de campagne à Paris, et son charme est démultiplié aux beaux jours, avec les arbres et bosquets en […]
Je suis justement en train de préparer un billet au sujet de cette jolie rue. Je n’ai pas fait de rencontre inquiétante lors de ma visite mais je me demande bien quel type de matou tu as pu apercevoir. Peut-être l’un de ces chats hybrides croisés avec de petits félins sauvages – enfin petits, tout est relatif, petits par rapports aux tigres ou au lions – comme le Savannah.
J’ai vu passer tes photos sur Instagram et je me doutais que nous préparais une jolie balade.
Je serais bien incapable de te dire quel était cet était ce félin hors normes, mais son souvenir est resté très net aujourd’hui encore…