Passer au contenu

Villa Seurat, cité d’artistes

Villa Seurat, cité d’artistes

Ces photos remontent à quelques temps déjà. En pénétrant Villa Seurat, je pensais que cette impasse était un simple coin de campagne à Paris. Elle représente bien plus, puisque la Villa Seurat a été conçue comme une Cité d’artistes, et regroupe plusieurs ateliers ou hôtels particuliers construits de 1924 à 1926 pour différents artistes.

Villa Seurat

Villa Seurat

Villa Seurat

Villa Seurat

Villa Seurat

Villa Seurat

Villa Seurat

Villa Seurat

Villa Seurat

Villa Seurat

Villa Seurat

Villa Seurat

Les maisons célèbres de la Villa Seurat

N°1, la maison de l’écrivain Frank Townshend.

N° 1 bis, la maison du sculpteur Robert Couturier par Jean-Charles Moreux.

N° 3 et 3bis, les ateliers des peintres Marcel Gromaire et Édouard Goerg construits en 1925.

3 et 3 bis Villa Seurat Maison des peintres Edouard Goerg et Marcel Gromaire
Maison des peintres Edouard Goerg et Marcel Gromaire

N° 4, la maison de Jean Lurçat, construite en 1924.

N° 5, la maison du peintre Pierre Bertrand.

N° 9 et 11, les ateliers de Madame Bertrand et du sculpteur suisse Arnold Huggler.

N° 9 et 11, les ateliers de Madame Bertrand et du sculpteur suisse Arnold Huggler.
les ateliers de Madame Bertrand et du sculpteur suisse Arnold Huggler

N° 7 bis, la maison-atelier de la sculpteur Chana Orloff (1888-1968), construite par l’architecte Auguste Perret en 1926. Chana Orloff l’occupera de 1926 à 1942. Spoliée comme bien juif, l’artiste la rachètera en 1945 et y résidera en alternance avec ses séjours en Israël. Aujourd’hui, classée monument historique, elle se visite sur rendez-vous.

7 bis Résidence-atelier Chana Orloff
Résidence-atelier Chana Orloff
7 bis Résidence-atelier Chana Orloff
Résidence-atelier Chana Orloff

N° 8, la maison de mademoiselle Quillé.

N° 16, Maurice Thiriet, compositeur de musique (1906/1972) plus connu pour ses musique de films dont « Les visiteurs du soir », résida de 1934 à 1937.

N° 18, à partir de 1934, résida Henry Miller qui y écrivit ses Tropiques. Anaïs Nin y demeura, puis le peintre Mario Prassinos.

Les maisons au n° 1, 3, 4, 5, 8, 9 et 11, dues à l’architecte André Lurçat, sont également classées.

Source historique : Wikipedia

8 Commentaires

  1. Ji

    Près du parc Montsouris non? C’est magnifique. Les gens qui habitent dans ces maisons ont de la chance d’avoir un tel havre de paix à Paris!!

    http://Sugarsheet.com

    • Pas très loin, en effet ! Les « villages parisiens » sont plus nombreux qu’on ne le croit et c’est bien vrai qu’ils constituent de véritables petits havres de paix.

  2. A qui sont attribués ces logements aujourd’hui ? Peu d’artistes peuvent aujourd’hui bénéficier d’atelier dans des lieux centraux, ils sont éloignés dans la périphérie intra muros … Comme les ateliers de la rue Dénoyez (Belleville) relogés dans des ateliers certes très beaux et neufs sur le bassin de la villette mais sans plus aucune vie avec la rue … Dommage !

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.